Si
j'ai, tous les mots, mis à terre
En cinquante ans de poésie
Comme
l'on m'a shooté parterre
Autant qu'on m'a dit de me taire
Et
que vous l'avez bien choisi,
C'est qu'il n'existe pas
En
vos consciences blêmes
D'un regard le faux pas
Dont vous
dites : « Je T'aime ! »
Si, sur la route
bleue des pleurs
Les sujets de vos blogs sont leurres
Et que
pour Poésie vous êtes
Le nullement de rien, son âme
Et
l'homme en cette vie la femme
Avec ce petit rien du tout
Dont
vous vous faites n'importe où
L'écho démesuré,
l'outrance
Et qui sent le vieux verbe rance
Il advient des
messages gris
Qui ne prononcent aucun cri
A l'endroit des
conjugaisons
Dont votre lieu est : la saison
Là où
vous posez un regard
Avec le semblant d'être lu
Car c'est cela
qui vous a plu
Sur le Blog de votre passion
Que l'on quitte
sans un égard
En son semblant, le virtu/el
Bourgeois,
bourgeois qu'elle est cruelle
Votre émotion !
Veillez,
veillez sur vous
Veillez sur l'Être Humain
Et qui tombe à
genoux
De vos teigneuses mains
Puisqu'il n'est – ici bas
– l'amour
Ni son lieu dit, ni sa souffrance
Et que chacun
pleure toujours
L'adversité de sa passion
Lorsqu'un mime en
révolution
Dessine, d'un geste la France
Lorsque, de vos
petits parcours
Ni même dit, ni même clos,
Votre monde n'a
plus d'écho
Votre monde tout doucement
Se meurt où s'éteint
le moment
Dont naîtraient la Paix et l'Amour !
Comme
il n'existe pas
En vos consciences blêmes
D'un regard le faux
pas
Dont vous dites : « Je T'aime ! »
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